L’architecture est un art majeur de concerter des étendues et de bâtir des édifices, tout en suivant les règles de la construction scientifique et empirique. Elle nécessite des concepts classique ou esthétique, impliquant les aspects environnementaux et sociaux, par exemple comme les monuments. L’architecture est définie comme un terme de la culture, reconnue dans la classification des arts, et étant le premier des arts majeurs. Pourtant, dans le contexte de changements techniques, culturels ou sociaux, l’architecture moderne est née du chemin progressif de la campagne à la ville, c’est-à-dire qu’il y a la construction et l’urbanisme. De ce fait, l’architecture moderne se caractérise cinq points, qui ont été définis par l’architecte urbaniste Le Corbusier.
Premier point : les pilotis
Les pilotis sont en effet le rez-de-chaussée, qui est transformé en une étendue dégagée, permettant une circulation et certainement la création d’un potager ou un jardin. Cet espace passe également sur l’immeuble (le bâtiment). Dans le bâtiment, les locaux humides et obscurs sont supprimés. Il pourrait avoir une grille de colonnes en acier ou en béton, remplaçant les murs porteurs pour donner une base de l’esthétique nouvelle. Ce point a pour décision de soutenir la construction sur les piliers, dans le but de rendre libre le sol utilisable. Généralement, les pilotis se définissent comme l’ensemble de bâtons ordinairement en bois enfoncés. Ils ont pour rôle clé de soutenir la construction au-dessus du sol ou hors de l’eau. Selon les théories, ils sont utilisés le plus souvent pour réaliser des fondations concrètes sur un sol fluide. Ces pilotis ont été déjà conçus à la préhistorique, par exemple dans la construction des cités lacustres, supportant des villes comme Nantes et Venise. Ils rassemblent les pilots mis dans le sol, qui sont destinés à maintenir la construction.
Pour en savoir plus sur les cinq points de l’architecture moderne définis par l’architecte urbaniste Le Corbusier en 1926, veuillez consulter : art-twenty.com/
Deuxième point : le toit-terrasse
En général, le toit-terrasse renonce au toit habituellement en pente, il serait accessible et pourrait servir de terrain de sport par exemple, de piscine, de toit-jardin, ou de solarium. Il est à la fois comme une terrasse ensoleillée et un potager. En outre, une couche d’humus serait protégée de végétation sur un toit plat. Ceci permettra donc d’avoir une humidité continuelle et pourrait servir de froid parfait et d’isolant thermique pour le bâtiment. En effet, un toit-terrasse, aussi appelé toiture-terrasse, se définit comme une mesure technique architectonique. Il permet ainsi d’effectuer une toiture plate. Ce qui permet d’être utilisée comme un endroit à vivre, de loisir ou convivial, ou de rester inaccessible. Toutefois, comme avantages, le toit-terrasse permet d’avoir un espace supplémentaire, c’est-à-dire que lors de la construction ou d’une rénovation d’un habitat, l’acquisition des mètres carrés en plus serait un atout spécifique. Aussi le toit-terrasse dispose d’une bonne isolation thermique en hiver ou en été. Par contre, il dispose de certains inconvénients, comme l’étanchéité, le poids (en particulier la dalle) et la sécurité.
Troisième point : le plan libre
Il s’agit notamment d’une suppression des murs porteurs. Cette suppression est en effet autorisée par les contextures de poteaux-dalles en béton armé ou en acier. Cette absence de murs porteurs permet ainsi d’utiliser en toute flexibilité l’endroit, qui pourrait être réparti par des éléments d’écran. En architecture, le principe du plan libre est une conduite de construction, laissant la lumière du soleil et de l’air entrer dans chaque pièce intérieure du bâtiment. Ces murs porteurs seront donc remplacés par des poteaux, afin d’améliorer l’espace interne au maximum possible. Comme avantages, le plan libre permet de faciliter l’aménagement et l’agencement de l’habitat.
Quatrième et cinquième point : fenêtre en bandeau et la façade libre
La fenêtre en bandeau supprime la contrainte des linteaux, comme les contextures types poteaux-dalles. Cette forme de fenêtre rend aussi l’architecture moderne possible. Les fenêtres sont horizontales, et elles traversent sur le long de la façade les murs non porteurs, permettant de fournir une lumière commune dans l’habitat. Ainsi, l’intérieur de l’habitat serait très léger et offrira une vue remarquable sur les alentours. En général, la forme d’une fenêtre en bandeau est comme un panoramique de la menuiserie, c’est au style tendance dans l’architecture moderne. Pour cela, c’est un choix moderne ou neuf dans les constructions actuelles, dont la rénovation d’un habitat existant ou d’une extension moderne.
En effet, avec la façade libre, les porte-à-faux sont en plancher et les poteaux sont en retrait des façades. Ainsi, cette façade est constituée d’une peau mince de baies et de murs légers. Cette fenêtre en bandeau est installée de façon indépendante de la structure. Les sections sont fermées et ouvertes, permettant de séparer et de raccorder la structure du bâtiment avec un design extérieur remarquable. En outre, le Corbusier se repère aussi aux casiers, prenant un espace à l’encombrement des meubles et à l’intérieur de l’immeuble.